Six femmes et un enfant participant à un défilé de mode organisé par les magasins Dufresne et Lavergne au centre St-Marc à Shawinigan.

Une petite fille admire des animaux en chocolat sur les étagères d'un magasin à Shawinigan à l'approche de Pâques.

Partie de basketball à Shawinigan.

Façade et intérieur de la taverne chez paul nouvellement ouverte.

Groupe d'hommes réunis pour l'ouverture de la ligue commerciale et industrielle de balle molle à Shawinigan.

Ces photos historiques, prises en juillet 1963, illustrent la parade d’ouverture des terrains de jeux à Shawinigan. Cet événement, organisé pour lancer la saison estivale des activités jeunesse, mettait en valeur l’implication communautaire, la joie des enfants et l’engagement des clubs de loisirs de la région.

Ces photographies prises à Shawinigan en 1963 illustrent un moment tendre et joyeux de l'exposition d’animaux organisée pour les enfants. On y voit de jeunes garçons assis sur un banc, chacun tenant un animal : un chaton blanc, un petit rongeur et un chien de grande taille. L’ambiance est empreinte de simplicité et de convivialité, typique des événements communautaires de l’époque. Cette exposition offrait aux enfants l’occasion de présenter leurs compagnons et de partager leur amour des animaux dans un cadre festif et éducatif.

Ces deux photographies d’archives, prises à l’hôtel de ville de Shawinigan le 24 juillet 1963, capturent un moment marquant de la vie municipale locale : l’élection symbolique des jeunes maires et mairesses du Grand-Shawinigan. Cet événement visait à initier les enfants à la démocratie municipale et à la vie civique.

Ces photos historiques montrent la fin de la saison sur les terrains de jeux organisés par le Service de la récréation. On y voit des enfants souriants et des animateurs réunis pour célébrer la clôture des activités. Les images illustrent l'esprit d'équipe et la joie partagée à travers les nombreuses activités récréatives de l'été.

Une paire d'oreilles d'orignal posée sur une voiture à Shawinigan.

Des jeunes en entrevues à la bibliohtèque.

Façade et intérieur du magasin Boisvert de meubles et de lingeries.

Cette collection de photographies capture l’essence de l’été 1963 à Shawinigan, paisible ville de la Mauricie, baignée de lumière et de vitalité à la Québécoise.
Le soleil réchauffe doucement les rives d’une rivière tranquille, où familles et amis se rassemblent pour savourer les plaisirs simples et authentiques de la baignade en pleine nature.

Dans ce décor, saisi par l’objectif d’un photographe, se déploie une scène où un personnage : un homme de 91 ans, à la vitalité étonnante. Entouré de jeunes adultes, d'enfants et de proches, il ne se contente pas d'observer ; il participe. On le voit rire dans l’eau avec ses compagnons, et nager avec une aisance que peu pourraient lui attribuer à cet âge vénérable. Son corps est celui d’un homme resté actif ; son regard, celui d’une âme restée jeune.

Ces moments vont bien au-delà du simple loisir : ils témoignent d’un véritable héritage intergénérationnel. Ils racontent une époque où les familles se retrouvaient au bord des rivières, où le temps semblait suspendu, et où la vieillesse n'était pas synonyme de retrait, mais de participation joyeuse à la vie collective.

Ces deux photos historiques, prises à l'été 1963 à Shawinigan, illustrent plusieurs jeunes hommes et femmes réunis à l’extérieur d’une piscine, prêts pour un cours de perfectionnement offert aux moniteurs de natation provenant de différentes piscines de la région.
Le cadre formel, mais avec esprit sportif, témoigne de l’importance accordée à la sécurité aquatique à cette époque. On y voit l’instructeur principal, probablement un maître-nageur certifié ou un responsable régional, transmettre sûrement des consignes précises sur les techniques de sauvetage, les procédures de surveillance, et l’enseignement de la natation aux débutants.
Les vêtements et les attitudes des participants traduisent l’esprit des années 60 : robes d’été, chemises boutonnées, coiffures soignées, une époque où même en bord de piscine, l’élégance et la tenue primaient.

Une jeune femme se nettoie le visage dans la chambre de bain.

Voiture dont l'intérieur à brulé.

Vue sur des oeuvres accrochées.

Photo de deux oeuvres accrochées au mur.

Mgr Pelletier entouré de membres du Club Richelieu et de plusieurs prêtres à Shawinigan.

Ces photographies, prises durant l’hiver 1963, documentent une scène d’enquête autour d’un véhicule ancien, immatriculé au Québec. Un homme, probablement un enquêteur ou un policier, est agenouillé près du pare-chocs arrière. Il examine attentivement le système d’échappement, auquel est fixé un tuyau, un détail révélateur dans les cas d’asphyxie au monoxyde de carbone.
Quelques heures plus tôt, Monsieur Doucet a été retrouvé sans vie à l’intérieur de cette voiture. L’air y était devenu irrespirable. Tout porte à croire à un suicide par asphyxie, un drame discret, mais profondément bouleversant.
La scène suggère un geste délibéré. Tout laisse croire à un cas de suicide ou, à tout le moins, à une intoxication tragique.

Des personnes agées sont assises sur des chaises et jouent aux cartes.

Mariage militaire à Shawinigan : jeunes femmes en robes de bal et hommes en uniforme posent lors d’une réception élégante.

Ces deux photographies montrent une foule rassemblée devant le magasin Marcel Chrétien Chaussures à l’occasion d’une vente de feu débutant le 5 mars. On y voit les affiches "FEU EAU FUMÉE" annonçant la liquidation après un incendie. La façade du bâtiment est partiellement calcinée, et l’arrière montre les dégâts causés par le feu et l’eau, avec de la glace formée sur les décombres.

L’été 1963, à Shawinigan, le marathon de nage rassemble des enfants et adolescents de la région, leurs familles, des entraîneurs et des bénévoles dans une ambiance sportive et conviviale. Ces images témoignent de la vitalité des activités communautaires. Plus qu'une simple compétition, c'était un moment de fierté locale, de fraternité et de souvenirs impérissables.

Sur la première photo, les nageurs sont alignés avec sérieux, presque solennels, chacun portant la trace de l’effort à venir dans leur posture. L'entraîneur tend la main comme pour les lancer dans cette épreuve. Sur la seconde photo, les sourires prennent le dessus : les trophées brillent au soleil, tout comme la fierté dans leurs yeux. C’est l’été, c’est la jeunesse, c’est le Québec des années 60.

Trois hommes pointent quelque chose sur une carte.