Une dame est couronnée reine.

Un groupe d'hommes dans une cave.

Ces deux photographies, datées de 1963, documentent une exposition des travaux réalisés par les jeunes de Shawinigan. L’événement semble se dérouler dans une salle communautaire ou scolaire, probablement dédiée à l’artisanat ou à l’éducation. Sur les tables bien disposées sont exposées de nombreuses créations en bois principalement des modèles de charrettes, chevaux, lapins et un camion miniature témoignant d’un apprentissage manuel et artistique.

Rencontre d'hommes d'affaires.

Processus d'élections et d'assermentation à l'association des hommes d'affaires.

Dessin de la vision de l'École supérieure de Grand-Mère par les architectes Leclerc et Villemure.

Un groupe d’hommes de la Légion Canadienne qui interagissent dans une ambiance formelle mais amicale.

Cette collection regroupe des photographies illustrant un groupe d’adultes célébrant en l’honneur de M. J. Edouard Bond chef du louvetisme, sûrement reconnaissant sa dévotion au mouvement scout.Trois adultes présents portent l’uniforme scout, une femme porte également un uniforme féminin associé aux scouts. Derrière les adultes, un groupe nombreux de jeunes garçons scouts (louveteaux) observent la scène. L’environnement est décoré de plusieurs bannières suspendues au mur ainsi qu’un grand drapeau du Québec.

Deux hommes consultent un livret.

Quatre hommes tiennent un trophée de balle molle.

Un joueur de balle molle s'élance pour frapper.

Des joueurs et des officiels sont pris en photo sur un terrain de balle molle.

Lanceur et un religieux au baton.

Des gens heureux à la remise d'un trophée.

Équipes de jeunes joueurs de balle molle.

Remise d'un papier en salon et remise de trophée sur le terrain à une équipe.

Six personnes regardent une carte du Québec.

Ces photographies montrent un moment d’attente et nostalgie pour un groupe d’enfants rassemblés autour de la piscine de l’O.T.J. La piscine, encore vide, attire pourtant un grand intérêt chez les jeunes, qui semblent impatients de pouvoir enfin s’y baigner.

Sur cette photographie, on aperçoit le vieux camion incendie du Poste No1. Ce véhicule d’époque est sur le point d’être envoyé au musée de Pierreville, où il pourra être conservé et admiré comme pièce du patrimoine régional.

Jeunes avec un religieux dans un bureau.

Le père noël et sa parade dans Sainte-Flore.

En juin 1963, la communauté de Grand-Mère s’est réunie avec émotion et dignité pour rendre un dernier hommage à un citoyen estimé et respecté de la région: Monsieur Albé Matteau.

Ce jour-là, la ville entière s’est figée. Un impressionnant cortège funèbre a traversé l’une des artères principales de Grand-Mère, témoignage éloquent de l’estime portée à cet homme. Sur les trottoirs, les habitants s’étaient massés en silence. Certains observaient en retenant leurs larmes, d'autres sûrement partageaient à voix basse des souvenirs, des anecdotes, des gestes simples mais inoubliables d’un homme qui avait profondément marqué la vie sociale et communautaire de sa ville.

Au centre du défilé, une fanfare en uniforme ouvrait la marche. Derrière eux, un corbillard transportait le cercueil de M. Matteau, suivi par une longue file de voitures et de citoyens endeuillés, marchant à pied, dans un silence empreint de recueillement.

Un peu plus loin, sur le parvis de l’église, une foule dense attendait ou sortait lentement de l'église. Hommes, femmes, enfants — toute une génération semblait réunie. On ne venait pas seulement enterrer un homme, mais honorer une époque, un certain esprit de communauté qu’il incarnait à ces temps.

À travers ces images, Grand-Mère, unie dans le deuil, célèbre la mémoire de M. Albé Matteau, dont la vie a profondément marqué l’histoire humaine et civique de la ville. Cet adieu collectif grave à jamais son souvenir dans la mémoire régionale.

Ces photographies nous plongent au cœur d’un drame familial survenu en décembre 1963 à Shawinigan-Sud. Elles illustrent les conséquences tragiques d’un événement où un jeune homme de 16 ans aurait tué son père de deux balles, à l’aide d’une carabine de calibre 22 retrouvée par les policiers. Derrière ce geste dramatique se cache une réalité sociale difficile.
Selon les récits de l’époque, l’adolescent, ayant quitté l’école à l’âge de 14 ans, travaillait depuis pour subvenir aux besoins de sa mère et aider un foyer où le plus jeune des huit a 4 ou 5 ans. Ces images témoignent non seulement d’un acte de violence, mais aussi d’un contexte familial et économique lourd, révélateur des tensions sociales de l’époque.

Un groupe de personnes.

Vue sur une rue.